L’état de manque

Plusieurs études nous parlent de pourcentage alarmant de détresse psychologique chez les étudiants, les médecins, les travailleurs autonomes, etc.  Peut-on s’entendre sur le fait que ça ne sert pas à grand chose de segmenter? Beaucoup de gens sont malheureux, point. Le monde d’aujourd’hui nous écrase, nous enlève le sens du beau. Il nous assèche. L’état de manque est constant mais on ne sait pas trop vers quoi se tourner. Au final, qu’est-ce qui nous nourrit? Qu’est-ce qui nous amène à nous sentir entier, bien?

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